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Education populaire. Le Projet. La France a besoin d’une élite élargie, forte, renouvelée, utile à notre pays et non composée presqu’exclusivement de ceux qui ont les codes du système et les gardent jalousement pour eux. La réponse que nous proposons est l’égal accès à la réussite. C’est une grande tâche, un grand et difficile projet de société. Comme tous les grands desseins, il appelle à lui une société qui ne peut se satisfaire de l’état de son école et qui a décidé de se remonter les manches pour la faire changer. Car des rustines et des réformettes n’y suffiront pas. Cette grande transformation, tous les acteurs l’attendent. Mon projet pour l'école. Lisez dans la visionneuse ci-dessous ou téléchargez (en PDF) le livre numérique d'Arnaud Montebourg intitulé "Mon projet pour l'école". Pour une école juste et performante L’objectif n°1 : donner un égal accès à la réussite pour donner à la France une élite élargie Tout le monde ne fera pas Polytechnique, mais l’accès à la réussite doit être démocratisé.

La France a besoin d’une élite élargie, forte, renouvelée, utile à notre pays et non composée presqu’exclusivement de ceux qui ont les codes du système et les gardent jalousement pour eux. La réponse que nous proposons est l’égal accès à la réussite. C’est une grande tâche, un grand et difficile projet de société. Comme tous les grands desseins, il appelle à lui une société qui ne peut se satisfaire de l’état de son école et qui a décidé de se remonter les manches pour la faire changer. . « Mon projet pour l’école » et ses deux adversaires Ce projet peut tenir en deux mots : justice et performance.

Les principales propositions. Ecole : le constat du système actuel. Ecole : le constat du système actuel En un mot, si l’on regarde par-dessus notre épaule, notre système scolaire a réussi la massification, permettant l’accès à l’instruction à tous les enfants, mais il a raté la démocratisation, c'est-à-dire l’égal accès à la réussite scolaire entre les enfants de tous milieux. Voilà l’enjeu. Si tous les enfants vont à l’école (massification), il faut désormais leur donner un égal accès à toutes les filières de l’enseignement supérieur sans exception (démocratisation). Il s’agit de justice sociale, mais également de l’avenir de la France qui doit élargir son élite et vaincre l’échec scolaire.

Actuellement, lorsqu’un élève sort d’un collège du quartier populaire Saint Charles à Nice, il n’a pas le même bagage scolaire que lorsqu’il sort d’un collège du centre de la ville de Nantes. Un système à la dérive et des gens courageux Notre école est, hélas, injuste – une des plus inégalitaires d'Europe. Les experts éducation de la campagne d’Arnaud Montebourg. « Mon projet pour l’école » et sa méthode. « Mon projet pour l’école » et sa méthode Ce texte est le fruit d’un travail qui a associé tous les acteurs qui vivent l’école au quotidien : parents, étudiants, professeurs certifiés comme agrégés ou professeurs des écoles, chercheurs en sociologie et science de l’éducation, inspecteurs généraux, syndicalistes, anciens responsables d’IUFM, mais aussi des principaux de collège, des gens politisés et d’autres pas.

C’est un texte mûri dans des pratiques, dans les salles des professeurs, dans les cours de récréation, dans les arcanes du ministère, ou dans les familles à l’heure des devoirs. Ce texte est le résultat de plus d’un an de travail. Imaginer des solutions à partir de situations concrètes et décrites Mon projet pour l’école est construit à partir d’histoires véritables de gens ordinaires.

Les experts éducation de la campagne d’Arnaud Montebourg. Les nouveaux chemins de l'école. Pour en finir avec la reproduction des élites à l’école : vers un enseignement différencié Samedi 19 mars 2011, aura lieu une journée nationale d’action de syndicats et d’associations d’enseignants, d’éducation populaire et de familles réunis en un collectif "L’école est notre avenir" ( ).

Leur revendication porte essentiellement sur l’arrêt de la suppression massive, par la droite, et à la hache, de postes d’enseignants à l’éducation nationale. Notre école s’est en effet vue amputée, dans le cadre de la RGPP, de 50 000 postes en 5 ans et va devoir se délester encore de 16 000 postes à la rentrée prochaine alors que le dernier Tableau de bord de l’emploi public (établi par le premier ministère) indique que la France a déjà le taux d’encadrement le plus bas des pays de l’OCDE.

Nos enfants sont donc en France très peu encadrés, et plus ils sont jeunes plus c’est le cas. Qu’en est-il donc ? A. Montebourg et les suppressions de postes dans l’Education nationale | Primaires socialistes. A. Montebourg et la jeunesse | Primaires socialistes. Primaires 2012 :Arnaud Montebourg : "Une école plus juste et plus performante" Quelle Ecole pour 2012 ?

Le premier tour des primaires citoyennes aura lieu le 9 octobre. Elles désigneront le candidat qui portera les couleurs de la gauche socialiste et radicale aux présidentielles. Le Café pédagogique ne pouvait pas ne pas saisir l'occasion d'interroger les candidats sur leur vision de l'Ecole. Nous avons contacté les principaux de ces candidats. Tous ne nous ont pas encore répondu. Arnaud Montebourg l'a fait. Voici sa vision de l'Ecole. La situation économique ne cesse de se dégrader. La question des moyens est importante, mais elle n’est pas première. Une école plus juste et plus performante nécessite davantage de moyens mais aussi des moyens plus justement répartis. Les travaux de l'OCDE montrent que les salaires des enseignants ont relativement diminué depuis 1995 et qu'ils sont bas par rapport aux pays voisins. Il nous faudra augmenter le salaire des enseignants, mais l’attrait du métier ne se réduit pas au seul aspect économique. Sujet délicat s’il en est !

Arnaud Montebourg: « Protéger la mixité et l’hétérogénéité des écoles» «[Pour la carte scolaire], je défends le libre choix régulé. On donne le choix aux gens dans un cadre où nous protégeons la mixité et l’hétérogénéité des écoles, des collèges et des classes, de sorte à se retrouver avec un cadre de carte scolaire beaucoup plus large et où on met des bons établissements et des mauvais. On oblige finalement les parents à accepter une part de mixité, tout en permettant d’avoir des vœux. […] Je sais à quel point il est difficile de mélanger des classes sociales.

D’ailleurs, dans les milieux populaires, on ne veut pas aller dans les lycées bourgeois de centre-ville. Il y a une espèce de séparatisme, presque d’apartheid invisible, qui existe dans notre société. Université : les candidats des primaires citoyennes au banc d’essai « UNIVERSITAS. EXCLUSIF. - De leur rapport à l’université, on ne sait pas forcément grand chose. Les sites sur les candidats aux primaires citoyennes donnent bien quelques clés : on y apprend par exemple que François Hollande a découvert à l’Institut d’études politiques de Paris la passion du syndicalisme étudiant. Que pendant ses études d’histoire à Paris 1 (qu’Arnaud Montebourg a également fréquenté en droit), Manuel Valls a adhéré à l’UNEF-ID et conseillé Michel Rocard pour les affaires étudiantes. Que Jean-Michel Baylet est devenu journaliste en 1971 après des études de droit lui aussi. Que quatorze présidents et anciens présidents d’université avaient apporté leur soutien à la candidature de Ségolène Royal en 2007.

Que Martine Aubry s’est engagée pour la jeunesse avec sa Fondation agir contre l’ exclusion, dans les années 1990… Mais quelle est l’opinion des candidats sur la réforme sans doute la plus importante du quinquennat Sarkozy ? Ecole : Montebourg, peut mieux faire ! OPINION : Arnaud Montebourg veut un nouveau cap pour l'école. Jusqu’à -50%sur de nombreux produits (disques, plaquettes de frein, courroies, accessoires…)* Avec « David Pièces Auto » gagnez du pouvoir d’achat et retrouvez des prix nets tout au long de l’année. Un nouveau cap pour notre Ecole – communiqué. Sept 27 2011 Les enseignants, les personnels de direction et les personnels administratifs nous font part aujourd’hui massivement de leur mécontentement vis à vis de la politique de la droite qui va vers une destruction systématique du service public de l’Education Nationale. Le gouvernement de Nicolas Sarkozy, sous couvert « d’égalité des chances », donne de moins en moins aux élèves des établissements des quartiers populaires (ces établissements ont perdu en moyenne 2,5 % de leurs heures, alors que les plus favorisés ont vu les leurs légèrement augmentés) et diminue régulièrement le nombre de cours à effectifs réduits, déjà très insuffisant.

Des transformations structurelles de notre système éducatif sont nécessaires afin de nous sortir de la stagnation (et même régression) éducative à laquelle fait face notre Nation depuis les années quatre vingt dix. Il nous faudra tout mettre en œuvre pour en finir avec l’échec scolaire et élargir et diversifier notre élite. Billets similaires : Éducation : le travail (très) inégal des candidats socialistes. Pas de blabla, des résultats… Le jour de la mobilisation sans précédents des enseignants à la fois du public et du privé pour protester contre le démantèlement du système scolaire français, au point que l’on puisse se demander si ce ne serait pas volontaire, dans le but de favoriser une école à deux vitesses dans laquelle les boîtes à fric pourraient plus facilement éclore et se gaver, … et à la veille du deuxième débat télévisé des primaires socialistes, sur i-télé cette fois, il m’a semblé intéressant de comparer les propositions des candidats… par delà le fait de recréer 60 000 postes d’enseignants, mesure démagogique destinée à tromper l’ennemi mais qui cache bien mal l’indigence du propos… et du travail de l’équipe du chouchou des médias… La preuve ici.

Je me suis basé pour cela sur l’excellent travail de Maryline Baumard pour Le monde, en changeant simplement la présentation, pour rendre le tout plus synthétique. Like this: J'aime chargement… Maya Akkari : Tous les messages sur Maya Akkari - Des idées et des rêves 77. Le projet d’école d’Arnaud Montebourg : de la générosité à l’angélisme équivoque. A l'université aussi, il faut changer de République ! Etre citoyen, c’est se confronter à des débats toujours plus complexes : énergie,climat,rapports hommes-femmes et théorie du genre,désordres économiques et financiers...

Pour comprendre un monde complexe et être en mesure de faire des choix politiques, il faut donner aux citoyens l’accès au meilleur des connaissances contemporaines, sans quoi adviendra soit le règne des experts, soit celui des démagogues et de leurs solutions simplistes. Il est de notre tâche de donner à chacun des outils pour être plus créatifs dans leurs métiers et maîtriser les évolutions technologiques.

Alors qu’à l’orée du XXe siècle le jalon symbolique des études était le certificat d’études, remplacé plus tard par le bac, c’est aujourd’hui la licence qui devient le niveau fondamental auquel nous devons porter une majorité de nos jeunes. Que cela soit dit haut et fort. Marasme depuis 2002 Pourtant, nous vivons depuis 2002 un véritable marasme. En finir avec les conflits d’intérêts Le système figé au XXe siècle.