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Violences policières

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Citation bavure - 3 citations sur le thème bavure - Dicocitation. Flashball: un policier mis en examen. «Tu vas voir ce que c’est la brutalité policière, you Zimbabboue. Voici le témoignage envoyé par Sophie Bouillon, journaliste française installée en Afrique du Sud. Agée de 25 ans, elle a reçu le prix Albert Londres 2008 pour un reportage au Zimbabwe publié par la revue XXI. «L’apartheid n’est pas mort. Il n’est pas vivant. Comme un cheval souffrant, ce système raciste de cinquante ans d’âge, convulse, donne des coups. Inattendus. Vendredi soir, 22h00, envie de sortir. . - Tu n’as pas de numéro d’enregistrement pour étranger qu’il faut obtenir au commissariat, me dit-il.- Un quoi? Il me pousse dans le fourgon. Après une demi-heure, toujours assise dans le fourgon de police, Tendai vient voir comment je vais. 23h30. Minuit. Johannesburg est une ville dangereuse. Deux heures. 05h30. Ce soir-là, je voulais écrire un nouvel article sur mon blog, intitulé «L’Afrique du Sud n’est pas l’Angola», pour rappeler que le pays est prêt à accueillir la Coupe du Monde.

A Montreuil, la police vise les manifestants à la tête. Nous publions ci-dessous le témoignage du réalisateur Stéphane Gatti (fils du dramaturge Armand Gatti) sur l’évacuation d’un squatt de Montreuil, mercredi. Le fils de Stéphane Gatti, Joachim Gatti, 34 ans, cameraman, a perdu un oeil à la suite d’un tir de flashball lors de cette évacuation. C’est la quatrième fois qu’une personne est ainsi défigurée par un tir de flashball. Le matin du mercredi 8 Juillet, la police avait vidé une clinique occupée dans le centre-ville. La clinique, en référence aux expériences venues d’Italie, avait pris la forme d’un « centro sociale » à la française : logements, projections de films, journal, défenses des sans papiers, repas... Tous ceux qui réfléchissent au vivre ensemble regardaient cette expérience avec tendresse. L’évacuation s’est faite sans violence. Ceux qui s’étaient attaché à cette expérience et les résidents ont décidé, pour protester contre l’expulsion, d’organiser une gigantesque bouffe dans la rue piétonnière de Montreuil.

Montreuil: Voynet met en cause la police. Dominique Voynet, maire de Montreuil (Seine-Saint-Denis), a dénoncé mardi de la part de la police «une démonstration de force totalement inutile qui a généré à son tour le désordre», au lendemain des affrontements qui ont opposé manifestants et policiers dans sa ville. Entre 250 à 300 personnes protestaient lundi soir contre l'expulsion mercredi dernier de plusieurs squatters qui occupaient une ancienne clinique, au cours de laquelle un homme affirme avoir perdu un oeil à la suite d'un tir de flashball par les policiers.

Un premier face à face tendu s'est produit entre forces de l'ordre et manifestants, non loin de la mairie, durant lequel ces derniers ont tiré à l'aide de mortiers de feu d'artifices et de fusées en direction des gardes mobiles qui n'ont pas répliqué. Dans un souci d'apaisement, les organisateurs de la manifestation ont cherché à modifier le parcours pour éviter que le face à face ne se prolonge, repartant vers la Croix de Chavaux.

Gaz lacrymogènes «Enquête indépendante» Un tir de flash-ball crève l’œil d’un manifestant à Montreuil - Montreuil : le Flash-ball en question - POLICEtcetera - Blog LeM. Les lanceurs de balles de défense de la police nationale - Socié. Bavure policière au flash-ball : un rapport met en cause la hiér. Montreuil : nouveaux heurts entre manifestants et policiers | Ru. Après les incidents qui ont suivi l’évacuation du squat de Montreuil mercredi, 700 personnes ont manifesté ce lundi soir. Ce lundi soir, environ 700 personnes se sont réunies à Montreuil pour protester contre les violences policières de la semaine dernière. Joachim Gatti, réalisateur, a perdu un oeil après avoir été touché par un tir de flashball lors d’un rassemblement de soutien aux membres du collectif d’extrême-gauche La Clinique. A 19 heures, une lettre de Joachim Gatti a été lue devant une assemblée hétérogène : jeunes cagoulés, membres de la Clinique, voisins solidaires, familles...

Dans ce texte, le réalisateur de 34 ans rappelle les raisons de son combat auprès du collectif : « Nous essayons d’être présents au monde, à la ville, au quartier où nous vivons, à ceux qui nous entourent, à nous même. Présence quand partout on voudrait notre absence. Présence quand il devient toujours plus difficile de se loger, de se nourrir, de se soigner, de se déplacer. . « Vous n’avez pas honte ? Un journaliste du Monde qui couvrait la manifestation à Montreui. " Ils ont porté les coups, agissant en toute impunité " Poursuivi pour être courageusement et pacifiquement intervenu lo. Société. Collégiennes menottées : elles n'avaient pas pris part à l'agres. Les collégiennes en garde à vue ont bien été menottées - 11/02/2.

45-Loiret. Violences: la double peine des femmes étrangères. Beauty, une nigériane venue en France en 2003 pour avoir une vie meilleure, s'est vite retrouvée sur le trottoir pour rembouser les 60 000 euros qu'elle devait à celle qui lui a fait traverser la Méditerranée. En 2006, elle porte plainte contre sa "mama". Au pays, sa mère se fera assassiner en représailles. Aissetou, mariée à un Malien en situation régulière a voulu divorcer quand elle a appris que son conjoint était polygame.

Elle s'est retrouvée dans un hôtel social, à faire des tresses pour nourrir ses enfants. Fadila, qui a suivi son mari en France a été battue puis abandonnée avec ses enfants quand ce dernier est retourné vivre au Maroc. Depuis 2004, la Cimade a accueilli dans ses locaux plus de 1800 femmes subissant mariage forcé, crime d'honneur ou esclavage moderne. "Se taire et subir" "Quant on est victime de violences, il faut le prouver si l'on veut être protégé, explique Violaine Husson de la Cimade. La Cimade prend donc à partie les politiques. Envoyé spécial - Police respect pour l'uniforme 1.

Envoyé spécial - Police respect pour l'uniforme 2. Envoyé spécial - Police respect pour l'uniforme 3. Violences policières : justice et police répondent à Amnesty | R. Dans son rapport, l’ONG dénonce l’impunité des forces de l’ordre. Etude de cas avec une vidéo signalée par un riverain. Amnesty International sortait ce mardi un rapport accablant pour les forces de l’ordre françaises, accusées de se croire « au dessus des lois ». L’ONG, qui répertorie une quinzaine de cas de passages à tabac, n’étrille pas seulement la police mais aussi la justice, plus prompte à sanctionner l’outrage à agent qu’à instruire les plaintes pour violences policières. Homicides, coups, sévices, mauvais traitements, injures xénophobes... : selon Amnesty, la situation s’est détériorée dans l’Hexagone depuis le dernier rapport, qui datait de cinq ans.

Pour muscler son propos, Amnesty a même créé un site spécial et fait buzzer des vidéos où des victimes de violences policères racontent leur histoire. A Rue89, nous recevons pas mal de témoignages de violences policières, souvent en marge d’une journée de manifestation. Impossible de retrouver les protagonistes d’une vidéo picarde. Répression, intimidation: le gouvernement mis sous surveillance. «Dénoncer la répression de la contestation», tel est le credo du Clej – Collectif Liberté Egalité Justice –, une organisation créée en 2007 et qui rassemble une vingtaine d'associations, syndicats et partis politiques d'opposition.

Le collectif a lancé, en juillet 2009, un appel de mobilisation contre les dérives policières suite à un tir de flashball ayant entraîné la perte de l'œil d'un homme alors qu'il manifestait contre l'expulsion d'un squat à Montreuil. L'appel a été signé par 73 organisations très diverses, de Act up Paris à Témoignage Chrétien en passant par Les Verts. Fort de ce «succès», le collectif s'engage aujourd'hui à «recenser et analyser de façon régulière toutes les formes d'intimidation à l'expression militante et à la contestation sociale», explique lors d'un point presse Matthieu Bonduelle, secrétaire général du Clej et juge d'instruction au Tribunal de grande instance de Bobigny. «Une mission de veille active» «Il est temps de faire un bilan» RTL.fr : 1er site radio de France - 1er site à écouter - Info, S.

Le 24 novembre 2007, deux adolescents sur une mini-moto heurtaient une voiture de police dans une petite rue de Villiers-le-Bel. Ils étaient tués sur le coup. Mouhsin et Larami avaient 15 et 16 ans. Leur mort avait été le point de départ de trois jours d'émeutes très violentes dans cette ville du Val d'Oise. Dans cette affaire, les familles des victimes ont toujours contesté la version des policiers. RTL vous le révélait dès lundi matin : la procureure de Pontoise a pris mi-septembre un réquisitoire de non lieu dans l'enquête ouverte pour homicide involontaire. La juge d'instruction devrait suivre son avis dans les semaines à venir.

"Les jeunes circulaient sur une moto qui n'était pas destinée à la route, dépourvue de freins et d'éclairage, sans casques et ils étaient tributaires de la priorité", a déclaré à l'AFP la procureur Marie-Thérèse de Givry, confirmant une information de RTL. Villiers-le-Bel : non-lieu requis pour les policiers - LeMonde.f. A Nîmes, acquittement du gendarme responsable de la mort d'un je.

Rapport France - des policiers au dessus des lois. [Indymédia Lille] [amiens] violence policière sur des lycéens. Lu sur Presse IndePicarde vendredi 23 janvier 2009 violences policières sur des Lycéens à Amiens Aujourd’hui, vendredi 23 janvier 2009 : Un rassemblement a eu effectivement lieu par des Lycéens de Thuillier, Michelis et Luzarches (notamment). Les Lycéens, sans brutalité, mais fermement, se sont approché du cordon (ils se tenaient par les coudes) et on un peu poussé. Les lycéens se sont donc dispersés devant cette charge violente et excessive et sont revenus pour constater l’arrestation de 5 d’entre-eux (4 mineurs dont 1 fille et 1 majeur).

Les 5 lycéens ont été libérés entre 13h15 et 14hoo ⇒pour les mineurs, il fallait la présence d’un parent pour repartir. Apparemment, il y a quand même eu (dans une pièce séparée) fouille complète (en slip) Je viens d’apprendre que les lycéens ont été contacté par France 3 Picardie, afin de visionner la vidéo sur la charge policière. Voilà pour l’instant. Commentaires d’un Lycéen qui était présent Bonsoir à toutes et à tous.

Outrages à agent: peut-on encore parler aux policiers? Infosignalée par un internaute Les procédures pour outrage se multiplient devant les tribunaux, et les militants accusent la police de « faire du chiffre ». Au commissariat de Nanterre en 2006 (Olivier Culmann/Tendance floue). Naomi Campbell a passé sept heures au poste, à Londres, ce week-end, pour avoir craché sur un policier. La top model réputée forte en gueule n’est pas la seule à avoir maille à partir avec les forces de l’ordre. En France, les affaires invoquant l’outrage à agent se multiplient, et le nombre de cas soumis aux magistrats ont explosé en quelques années.

A Rue89, pour la seule semaine dernière, nous avons été sollicités à trois reprises à ce sujet. . « Après beaucoup d’hésitations, je vais publier le 20 juin un petit livre intitulé ’Lettre au garde des Sceaux : pour une dépénalisation du délit d’outrage’. L’auteur hésite, craignant de se retrouver noyé sous un flot d’infos’. Jean-Jacques Reboux s’interroge et souhaite ouvrir le débat : où commence l’outrage ? Violences policières, l’enquête impossible : LesInrocks.com. Villiers-le-Bel, 25 novembre 2007. Surgie de l’ombre au milieu du carrefour, une voiture de police percute de plein fouet deux adolescents qui traversaient à vive allure sur une minimoto. Le choc est sans appel. La collision tue sur le coup les deux motards, embrasant la banlieue parisienne pour de longues nuits d’émeutes. Malgré l’enquête qui démontrera que les policiers circulaient au-delà de la vitesse autorisée et sans gyrophare, le tribunal rendait, fin octobre 2009, une ordonnance de non-lieu.

Au même moment, à Marseille, un fonctionnaire de police écopait d’une peine de prison avec sursis après avoir fauché mortellement un gamin sur un passage piéton. A Clichysous- Bois, l’enquête ouverte en 2005 suite à la mort de deux jeunes, réfugiés dans un transformateur EDF pour échapper à la police, n’est toujours pas refermée. Pour le public, ces faits divers continuent d’accréditer la thèse de l’impunité des forces de l’ordre. Adam, détenu et témoin gênant, torturé à Fleury - Société - Le M. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Yves Bordenave Appelons-le Adam. Pour l'heure, ce jeudi 23 juillet dans le bureau de son avocat, Me Damien Brossier, face à la cathédrale d'Evry (Essonne), Adam préfère que son identité reste dans le secret du dossier judiciaire. Ce n'est pas de la peur. Plutôt de la pudeur. A 32 ans, cheveux taillés ras et visage mat, ce Français d'origine nord-africaine, qui ne sait ni lire ni écrire, collectionne les séjours derrière les barreaux pour des violences diverses et des délits mineurs.

Douze ans d'incarcération au total, qu'il a passés, le plus souvent, à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis. S'il n'est pas un citoyen exemplaire, Adam, remis en liberté depuis le 12 juillet 2008, a toujours été un détenu sans problème. Il n'a pourtant pas résisté aux sévices que lui ont infligés des détenus, de mèche avec un groupe de surveillants, lors de son dernier passage à Fleury. Le 25 août 2007, il y purge une énième peine. Parole de taulard contre parole de matons. Rétention administrative : Lorsque les.

17 juillet 2009 Dans la journée du 14 juillet, Monsieur KENNOUDI, ressortissant marocain, retenu au centre de rétention administrative (CRA) du Mesnil-Amelot (77) depuis le 25 juin est emmené à Roissy. Il a protesté contre son troisième embarquement et a été plus que malmené par les policiers, au point que les gendarmes de l'escorte du centre de CRA, sont intervenus et ont témoigné en sa faveur, selon M. KENNOUDI. Menotté dans le dos, scotché aux genoux et chevilles, il a été porté à l’horizontale par deux policiers et un gendarme jusque dans l’avion. M. KENNOUDI nous raconte qu’ils l’ont forcé à s’asseoir, qu’il a reçu des gifles et un coup de pied dans le ventre. Refusant catégoriquement de rentrer au Maroc, M. Les policiers le font remonter dans le fourgon d’escorte. A son retour au CRA, les autres retenus sont choqués. Quelques heures plus tard, une faible alerte incendie se fait entendre dans le bâtiment 4, la salle de détente est en feu.

La rétention de M.