background preloader

15/03 - 21/03 Actu Musique en ligne

Facebook Twitter

La riposte graduée votée par la Chambre des Lords en Grande-Bret. 1,2 million de chômeurs en Europe d'ici 5 ans à cause du piratag. On a rarement lu étude plus anxiogène sur l'impact du piratage dans l'économie. La Chambre de Commerce Internationale, qui n'est en réalité qu'un énorme lobby privé du capitalisme (elle fédère des centaines de milliers d'entreprises à travers 130 pays mais les Etats n'y sont pas représentés), a publié mercredi une étude .

(pdf) sur la destruction de valeur et d'emplois causée par le piratage dans l'Union Européenne. Voici ses principales conclusions, véritable plaidoyer pour la généralisation de la riposte graduée à travers l'Europe : En 2008, les industries créatives de l'Union européenne, d'après la définition plus précise et plus complète qui a été retenue, ont contribué à hauteur de 6,9% (environ 860 milliards d'euros) au PIB européen et représenté 6,5% de la main-d'œuvre totale, soit environ 14 millions d'emplois. Restait un problème : comment mesurer le niveau du piratage susceptible de provoquer ces dégats considérables sur l'économie européenne ? Hadopi : le piratage augmente ? - L'Internaute > High-Tech. Une chanson rappelle que l'enregistrement sur cassettes devait t. Les Français sont les plus réfractaires à payer pour des contenu. ActualitésNewsLes Français sont les plus réfractaires à payer pour des contenus en ligne Les internautes français sont les moins enclins à payer pour des contenus ou des informations, selon une étude réalisée par le cabinet GfK pour le Wall Street Journal dans 17 pays.

S'ils sont 75% à utiliser Internet de manière quotidienne, 89% estiment que les contenus sur le Web doivent être accessibles gratuitement.Cette étude GfK Custom Research classe la France en dernière position, sur 17 pays, pour la propension de ses internautes à payer les informations et les contenus disponibles sur Internet. 39% des internautes français estiment que tous les contenus doivent être accessibles gratuitement sur Internet, et la moitié (50%) refuse même que les contenus gratuits en ligne soient financés par la publicité. A l'inverse, 7% des Français interrogés acceptent de payer pour des contenus mais sans publicité, et seulement 1% le ferait pour des contenus avec publicité. Voir aussi : A découvrir également : Ces Français qui adorent la culture.

Les Français ne seront jamais des philistins. La culture demeure pour eux un sanctuaire. Et notamment pour ceux qui ont des revenus élevés. Leurs pratiques, étudiées par le baromètre OpinionWay pour L'Express et BforBank, révèlent une population homogène, dont la vie intellectuelle est centrale. Comment faut-il nommer ces Français qui occupent la pointe sommitale de la pyramide sociale (voir l'encadré Méthodologie), et dont le revenu annuel est supérieur à 48 000 euros net par an ? S'ils sont, bien sûr, privilégiés par la vie, ce ne sont pas des "riches" ; ils composent surtout une forme d'élite dont toute nation moderne a besoin.

Ses comportements économiques et sociétaux dessinent pour une part le visage qu'offre au monde notre pays, ses dépenses sont une composante de l'image nationale. La culture comme pratique sociale Or ces foyers considèrent à 65 % que les dépenses culturelles leur sont indispensables et qu'il ne saurait être question de les écorner. Music Business en Vrac #17 | 2500 fans pour vivre, Carte Musique. Frontières digitales | Owni.fr. Cyril Rimbaud, aka Cyroul, dresse dans ce billet "spécial-soucoupe" un état des lieux des frontières digitales et envisage leurs évolutions futures.

Car "le digital est un territoire, c'est-à-dire un espace à la géographie mouvante, basée sur des spécificités naturelles ou technologiques, des appartenances culturelles ou linguistiques... " Cyril Rimbaud, aka Cyroul, dresse dans ce billet “spécial-soucoupe” un état des lieux des frontières digitales et envisage leurs évolutions futures. Car “le digital est un territoire, c’est-à-dire un espace à la géographie mouvante, basée sur des spécificités naturelles ou technologiques, des appartenances culturelles ou linguistiques…” “Digital is not a media, it is a territory” annonçait il y a 2 ans le suédois Måns Tesch (Digital Strategy Director et initiateur de l’immense saga digitale de Stella Artois).

Et qui dit territoire, dit frontières. Des frontières sans avenir Heureusement, il s’agit de frontières faciles à franchir. Mais qui va éduquer ? Le futur de la musique... Vu d'un label très branché... In. Olivier de Simone a un petit accent Suisse et c'est là d'où il vient. Au départ, il avait un groupe qui a bien marché -Averse de Soleil-. Puis, il s'est intéressé à la production et au web et il y a compris que la musique et l'Internet étaient faits pour marcher ensemble. Il s'est mis à travailler pour Urban Jungle et il co-manage depuis longtemps l'artiste Céu . Il a rencontré Richard et Scott -les fondateurs de The Orchard- alors qu'il envisageait de monter un concurrent... C'est comme ça qu'il les a rejoint.

Aux Etats-Unis, il existe sur le monde physique un bon outil -Soundscan- pour savoir ce qui se vend ville par ville. En France, et en Europe, pas grand chose. la plupard des reporting étaient issues de Excel et peu maniables. Tout ceci te permet donc d'avoir une meilleure visibilité sur ton catalogue ou sur ton artiste, en comprenant où se trouvent less points chauds de fan et ce qui origine leur création. La recette pour faire péter un artiste, c'est la transparence. Après la crise de l'industrie musicale, à qui le tour? Nous avons assez répété que l'industrie de la musique rencontre aujourd'hui la pire crise de son histoire.

En 9 ans, elle a tout bonnement perdu plus de 60% de son chiffre d'affaire. Ce fait est d'autant plus remarquable qu'il s'accompagne d'un échec industriel sans précédent ; alors qu'un outil de distribution d'une efficacité sans comparaison a émergé, cette industrie a été incapable d'en avoir une approche structuré et en paye donc lourdement le prix.

La comparaison -que nous avons souvent dans ces lignes fait- avec l'effondrement du métier des maréchaux ferrants nous semble assez approprié. Le point que nous allons soulever aujourd'hui consiste à étudier la possibilité que d'autres secteurs -que la musique- puissent être affectés de la même manière. Y a t'il des domaines dans lequel Internet n'a pas encore frappé et qui peuvent être largement endommagés par une impreparation telle que l'industrie de la musique a su faire preuve? Nous pensons que c'est tout à fait le cas. Le monde de la musique dans... 30 ans. Cela fait à présent dix ans que la dernière des quatre majors a été absorbée par le portail chinois Baidu pour un yuan symbolique. Il faut l'avouer, Baidu était plus intéressé par le fait de récupérer une marque qui fut longtemps prestigieuse que par les contenus qu'elle détenait. Ses trois consoeurs Majors avaient été démantelées quelques années auparavant, au profil de grands groupes de l'internet, mais aussi de maisons de disques nouvelle génération.

Un an plus tôt, en 2038 donc, un député Euroaméricain avait proposé que l'on amende les textes de la loi Hadopi, désormais inutiles. Il est vrai que cette loi, très décriée lors de son lancement, avait eu un succès mitigée. Pourtant, cela fait à présent longtemps que plus aucune répression n'est exercée à l'encontre de ceux qui téléchargent des contenus désormais considérés comme sans valeur. Les usages de la musique sont devenus fantastiquement divers. Partez en week-end virtuel à Austin, Texas, pour un festival roc. 11 régions, 11 groupes : la playlist de. Lego musique. My Major Company : La madame tout va bien des labels participati. Après le naufrage de Spidart et le rachat de Sellaband, My Major Company avait joué la carte du silence. Mais alors que du côté des médias et de l'internet, le modèle participatif ne déclenche plus les pluies de louanges de jadis, et que les déçus de la production communautaire se multiplient, l'équipe du label , mieux vaut tard que jamais, a décidé de reprendre la parole.

L'idée à faire passer aux internautes est simple comme bonjour : My Major Company est le label participatif qui se porte bien. Le blog d'un artiste en développement dans un monde de com décrypte pour vous le message. Je vais bien, tout va bien...C'est tout d'abord sur la santé financière du label , que les dirigeants ont logiquement souhaité communiquer. My Major Company est bénéficiaire et a levé à la fin de l'année 2008: 3 millions d'euros auprès du fond de Stéphane Courbit .

Mieux encore, l'entreprise a confié à Paul-René Albertini les clés de son développement à l'étranger. Un message personnel ? Les ventes de musique numérique dépassent les pertes CD - ActuaL. YouTube : nouveau partenariat pour les musiciens indépendants - Divers Spotify aimerait s'inviter sur 360. Vers des CD moins cher ? La carte musique jeunes, limitée à 50 euros par an, pourrait êtr. STELLARIS-LTD : All in my Music.com : 1ère plateforme régionale. Pandora's lesson: Your first business model doesn't have to be y. The road to online music streaming is littered with the bodies of startups with interesting ways of sharing music.

And internet radio darling Pandora was almost one of them — multiple times. This weekend, The New York Times documented the various ways that Pandora almost went out of business over the 10 years of its existence. Pandora is on track to earn $100 million this year. That turn around is due to a number of issues. Some of them are extenuating circumstances — like recently reduced royalty fees for streaming songs. But Pandora has also been paying attention to changes in consumer behavior and digital payment structures. Music streaming is a sector with myriad hurdles standing in the way of profitability. But Pandora enlisted its coterie of brand advocates to champion its cause. "Pandora hired a lobbyist in Washington and recruited its listeners to write to their representatives. Pandora also hired Steve Cakebread from Salesforce.com as CFO to help run the business. Steve Albini Explains Why Royalties Don't Make Sense. Beyond being a world famous musician, engineer, producer and journalist, Steve Albini has long been pretty outspoken about the music business itself -- and while I don't always agree with him, I appreciate that he speaks his mind and often presents his arguments in ways that make me think and reconsider some of my own positions. herodotus points us to the news of some comments Albini recently made at a conference about the music business, with a great quote about the focus of so many on royalties: "Royalties are a means to pay producers in the future -- and in perpetuity -- based on record sales," said Albini, who is also a music journalist.

"If a band does a show, blows a whole bunch of minds and a bunch of people become fans and go out and buy millions of records, the producer gets paid. I think that's ethically unsustainable. "I don't think you should pay a doctor extra because a patient doesn't die. I think the doctor should be busting his ass for every patient. Turn It Up: South by Southwest 2010 prelude: Spotify won't be sa.

Broken Record: Four Mistakes That Killed the Record Indstry Befo. Most everyone who follows the record industry knows that it is slowly imploding and most don’t care seeing as how its leaders have basically ignored technology and tried to sue people to push their profit margins back in line. But, the demise of the record industry actually began long before technology gave it the final push over the edge. It started in the 80′s with the birth of the CD and the swallowing of independent record labels by major corporations to the point that now there are only four majors left. In each critical moment, record labels had the opportunity to think ahead and look beyond their immediate revenue streams.

Like many large corporations, they were unable to do so. As a result, they forgot that music is about people and they continue to ignore that fact at their own peril. For myself, I believe the record industry – and this includes radio – made four mistakes that preceded their ignorance of technology and lawsuit happy antics of present day. 1. 2. 3. I’m not naive. » How To Get Automatic Alerts When Your Band Is Mentioned Online.